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L'Héritage de Cavendon...
Vendu en livre d'occasion, L'Héritage de Cavendon de Barbara Taylor Bradford est un roman paru en 2016 aux éditions Presse de la cité.
Eté 1938.
Cecily et Miles Ingham s'apprêtent à reporter leurs vacances familiales à Zurich, la situation sur le continent étant devenue très préoccupante.
cache-cache avec les 4...
Le froid de la pluie, la violence du vent, la douceur du soleil, le plaisir de la neige, illustrés par Céline Bour-chollet et Sophie Kniffke.
Découvre le temps qu'il fait au fil des saisons.
United Victims de...
Vendu en livre d'occasion, United Victims de Elsebeth Egholm est un roman paru en 12006 aux éditions 10/18.
La journaliste Dicte Svendsen reçoit un matin une vidéo anonyme dans laquelle un homme décapite sa victime au sabre.
La belle et la bête
Dans un château enchanté vit un jeune prince : un sortilège l'a changé en une horrible bête.
Seul, l'amour d'une jeune fille peut briser cette malédiction.
La belle sauvera-t-elle la Bête ?
Sisyphe ou les limites...
Dans ce texte à l'allure pamphlétaire, qui rappelle certains écrits de Reich, il essaie de répondre sur le ton de l'ironie et de la polémique à la question : l'éducation pour quoi, et pour qui ?
Les limites de l'éducation, il ne les voit pas tant dans l'éducation de l'enfant ou dans la personne de l'éducateur, mais dans sa fonction au sein de la société capitaliste : l'éducation dans sa fonction sociale a toujours un aspect conservateur et elle subit les influences du groupe éducateur.
Les amants de Naxos
Dans la chaleur de l'été, au cœur même de la Grèce antique, en cet endroit où dit-on les dieux eux-mêmes aimaient se rencontrer, deux femmes savourent dans la joie, le bonheur des vacances.
Qui peut dire, les regardant rire joyeusement, laquelle de Julia ou de Nathalie est le mère ou la fille ?
François, l'agréable et séduisant compagnon de voyage semble ne pas vouloir se poser la question.
Mais c'est à Naxos, petite île des Cyclades, que dans le secret des cœurs, la drame se nouera
Si c'est un homme de...
"On est volontiers persuadé d'avoir lu beaucoup de choses à propos de l'holocauste, on est convaincu d'en savoir au moins autant.
Et, convenons-en avec une sincérité égale au sentiment de la honte, quelquefois, devant l'accumulation, on a envie de crier grâce.
C'est que l'on n'a pas encore entendu Levi analyser la nature complexe de l'état du malheur.
Peu l'ont prouvé aussi bien que Levi, qui a l'air de nous retenir par les basques au bord du menaçant oubli : si la littérature n'est pas écrite pour rappeler les morts aux vivants, elle n'est que futilité."